Je pensais que ce stage serait comme un autre. Une ligne sur mon CV, quelques semaines dans une entreprise que j’oublierais vite. Mais non. Ce stage a tout changé. Pas à cause de la boîte, mais à cause de lui.
Je m’appelle Léa, j’ai 23 ans, et je suis en master de communication digitale. Quand je suis arrivée chez Creative Pulse, j’étais prête à bosser dur, apprendre et prouver que j’étais capable de gérer des vrais projets. Mais je n’étais pas prête pour Adam.
Adam, c’était mon maître de stage. La première fois que je l’ai vu, j’ai ressenti un truc bizarre, comme une étincelle. Un grand brun large d’épaule âgé d’une quarantaine d’années, avec ce look mi-classe mi-décontracté : chemise blanche ouverte sur le col et jean parfaitement ajusté. Et son sourire… Ce genre de sourire qui te donne l’impression d’être la personne la plus intéressante de la pièce.
« Salut, Léa ? Moi, c’est Adam. Bienvenue dans l’équipe.»
Sa voix était grave, posée, avec une assurance tranquille. J’ai bafouillé un « merci » tout nul en retour, gênée par la chaleur soudaine dans mes joues et dans le creux de mes reins descendant entre mes fesses. Après cette présentation succincte je tournais les talons pour m’installer dans mon espace de travail que l’on m’avait désigné. Un bureau lumineux aménagé pour les stagiaires dans la pièce servant d’archives et abritant la photocopieuse et le distributeur à café ; un peu retiré de l’agitation générale c’était parfait pour entamer ce stage.
Une fois assise derrière mon bureau au calme j’éprouvais le besoin urgent de calmer le feu brulant mon entrecuisse. Pour se faire je remontais ma jupe en écartant discrètement mon string pour atteindre ma fente inondée de désir. Deux, trois passages sur mon clito eurent raison de mon désir rendant la jouissance délicieusement brutale en pensant à mon séduisant maître de stage sa tête entre mes cuisses buvant mon intimité.
Les premières semaines étaient classiques. Adam était hyper pro, toujours dispo pour répondre à mes questions ou m’aider à ajuster une présentation. Mais entre deux réunions, il trouvait toujours un moyen de faire une petite blague ou de glisser un compliment.
« Léa, t’as une vraie sensibilité pour le graphisme » m’a-t-il dit un jour. « Ça se voit dans tes idées ».
Je m’efforçais de garder un air détendu, mais à l’intérieur, la tentation sonnait à la porte! Ce genre de compliments, venant de lui, ça valait de l’or, et mettait mon corps en fête, je fantasmais terriblement sur lui.
Un midi, pendant une pause café, il s’est assis à côté de moi. On a commencé à parler de nos vies hors boulot. Il m’a raconté ses voyages au Canada, son obsession pour la photographie et son amour des vieux films français. Je l’écoutais, fascinée, oubliant presque que j’étais censée finir un rapport avant 14 heures.
« Et toi, Léa ? Qu’est-ce qui te passionne ? »
La question m’a surprise. La plupart des gens de son âge (il devait avoir une quinzaine d’années de plus que moi) se contentaient de te parler boulot. Mais pas lui. Il avait vraiment envie de savoir. Je répondais d’une voix hypnotique :
« Le sexe sauvage avec les mecs plus âgés que moi et surtout ceux qui sont très, mais alors très cochons » insistais je.
Il me regarda d’un air amusé, sourit largement et sortis du bureau en me laissant interloquée par son absence de réaction.
Les jours passaient, et cette tension entre nous devenait impossible à ignorer. Chaque fois qu’il passait devant mon bureau, je sentais son regard sur moi, et chaque fois qu’il me parlait, j’avais l’impression qu’il y avait quelque chose de non-dit.
Un jour, alors qu’on travaillait tard sur une présentation, il s’est assis en face de moi dans la pièce ou je travaillais. Il faisait nuit dehors, et le bureau était désert et sans un bruit.
« Léa, je sais que c’est un peu hors sujet, mais je voulais te dire… Tu as un pur charme sexy qui me fait durcir la bite et qui me met les valseuses en ébullition.» Il rajouta avec avidité « Et à tous les coups ta chatoune de jeunette doit être un vrai bonheur à baiser ».
J’ai levé les yeux, surprise :
« Quoi ? tu veux me fourrer j’en rêvais tous les jours m’obligeant à m’astiquer la motte en pensant à ta queue dans ma bouche» et je rajoutais :
« En plus la c’est champagne pour toi, j’ai tout rasé ce matin et j’ai enfilé un string de pouf, j’avais je ne sais pas trop pourquoi comme un pressentiment ». Je continuais :
« Tiens mate ça mon salaud et régale toi » lui dis-je en faisant glisser ma jupe et en écartant les cuisses sur ma chaise en face de lui .
Il devint rouge vif à la vision de mon intimité :
« Putain une vraie salope ça faisait longtemps, et si jeune ça me chauffe bien, bouge pas j’vais glisser ma pine dans ta jolie moule » dit il en baissant son pantalon et son caleçon.
« Regarde la bête Léa tu la veux bien au fond celle ci ? » lança il d’un ton confiant.
J’observais sans trop y croire le sexe cyclopéen de mon boss. Adam avait un membre de la taille d’une banane plantin, longue épaisse entièrement imberbe. L’effet était bluffant « Miam » fut le seul mot qui sortit de ma bouche à cet instant. Je rajoutais :
« Viens vite me la mettre patron j’ai la minette qui ruisselle »
Adam s’approcha, se mis à genou et rentra son engin lentement dans mon abricot avec un regard cochon, il rentrait et sortait sa queue luisante de mon jus avec des grognements de plaisir.
« C’est délicieux, c’est serré autour de ma tige comme une chatte de pucelle, mais il faut que je teste l’autre trou il a l’air trop accueillant aussi » Dit il en retirant son sexe qu’il fit glisser en dessous en tournant autour pour bien lubrifier le petit orifice.
Sentant l’estocade je lui dis :
« Vas y mollo boss mais vas y franco, je vais me titiller la praline en même temps j’ai envie d’un gros orgasme anal ».
L’énorme outil d’Adam excité par mes propos était gonflé à craquer. Luisant de ma mouille il le rentra prestement en dilatant ma pastille.
Il poussa un râle de plaisir en disant :
« Va s’y branle toi le berlingot et viens vite parce que je vais envoyer la purée fissa c’est trop serré la dedans pour ma grosse bite ».
« Bosse tu es trop cochon je vais jouir la, voila ca vient, laaaa... » Criais-je dans un hurlement cela déclencha immédiatement son orgasme :
« Ho tu es trop vicieuse ma garce, tiens voila je vais gicler toute ma purée sur ta cramouille ».
Il sorti sa queue de mon fion et un jet laiteux en sorti arrosant abondamment ma fente ruisselante :
« Hum quelle salope tu fais, une vrai mangeuse de foutre » fit il en me voyant récupérer sa semence et le porter à ma bouche.
J’étais touchée, mais aussi troublée. Il y avait une telle intensité dans son regard que je compris que je l’avais sexuellement impressionné. La grosseur de son sexe m’avait provoqué plusieurs énormes orgasme faisant battre mon cœur et cela me gênais car il restait finalement de mon patron. J’ai tenté de plaisanter pour alléger l’atmosphère :
« Merci, mais tu sais que c’est toi le boss, hein ? Et en plus il a bon goût » Dis je avec des yeux malicieux.
Il a ri doucement, mais il n’a pas détourné les yeux. « Peut-être. Mais ça ne change rien à ce que je ressens. »
Cette phrase est restée suspendue dans l’air. Je ne savais pas quoi dire, alors j’ai détourné le regard, m’efforçant de me concentrer sur mon écran. Mais à partir de ce moment, plus rien n’était pareil. Il sorti rapidement du bureau me disant qu’il devait partir une semaine en Allemagne pour un projet client.
Une semaine plus tard, il m’a proposé de rester après le boulot pour qu’on bosse sur un projet ensemble. J’ai accepté sans hésiter. Quand tout le monde est parti, il est venu s’asseoir à côté de moi dans mon espace désert. On travaillait en silence, mais chaque fois que nos épaules se frôlaient ou que nos mains se croisaient sur la souris, une vague de chaleur m’envahissait.
À un moment, il s’est tourné vers moi, son visage à quelques centimètres du mien :
« Léa, je veux.... »
Je l’interrompis car je savais exactement où il voulait en venir.
« Me baiser ? Ca tombe bien moi aussi et j’ai envie d’avaler tes roupettes, j’espère qu’elles sont bien lisses, je déteste les poils »
Il a pris une grande inspiration, comme s’il pesait chacun de ses mots :
« Je ne me suis pas palucher depuis une semaine et je te dis pas cela a été un calvaire. Je suis au bout de ma vie telle que tu me vois la, j’ai les roubignolles pleines comme des outres basques. »
Mon cœur s’est emballé. J’ai essayé de jouer la maligne car en fait je craquais totalement sur lui :
« Ho, Adam, la tu exagères, tu n’es pas dépendant de mon cul, quand même ? »
Il a secoué la tête avec un petit sourire triste :
« Léa, on sait tous les deux que c’est vrai. »
D’un coup malgré l’atmosphère électrique tout est devenu clair. Je n’ai pas réfléchi et me suis mise sur mes genoux tout en dégrafant son jean. Je sortis son engin gonflé à 80% en tirant bien sur la peau pour dégager son gland sur lequel je donnais de grands coups de langue pour qu’il finisse de se tendre tout en faisant coulisser ma main de haut en bas. Puis je fis descendre ma bouche pour gober ses boules qui étaient d’une douceur agréable. J’ai continué à l’astiquer timidement au début, mais je mis vite de l’intensité son membre devenant dur comme du bois. Il cria en suffocant :
« Viens vite mettre ma queue dans ta chatte avant que je ne décharge, ce serait du gâchis » et d’un même geste ses mains se sont posées sur ma taille, m’attirant pour me poser sur lui en écartant la fine dentelle de mon string pour faire coulisser son pieu tendu dans mes entrailles bouillonnantes.
J’ai posé la plante de mes pieds sur ses cuisses en commençant un va et vient vertical délicieux qui me procura une série d’orgasmes successifs. En quelques minutes je m’abandonnais à mon plaisir, sans penser aux conséquences. Le gonflement soudain du sexe de mon partenaire interrompit ma rêverie. Pour ne rien rater je sortais le membre violacé de mon amant puis tombais à genoux en l’astiquant avec vigueur, tout en l’avalant jusqu’à la garde pour le finir en beauté.
Il poussa un grognement de plaisir :
« Ca y est je me vide ma cochonne, avale tout ! »
Je sentis dans ma gorge une puissante giclée tellement abondante qu’elle déborda de ma bouche pour se répandre sur ma poitrine et sur le sol comme une cataracte.
« Hé ben mon salaud t’avais faim » lui dis-je. « Tu m’as envoyé un demi litre de foutre sous pression dans la gorge !»
il rigola et me dis :
« Je t’avais prévenu pourtant » il m’embrassa longuement enfila une veste et me dis : « C’était délicieux je rentre je pense à toi très fort, bisous ma belle !»
Les jours suivants, notre relation est devenue notre secret. Au bureau, on restait pro, mais chaque regard, chaque sourire échangé avait une signification bien plus grande. C’était
Intense et alors qu’on était seuls dans l’open space, il a pris ma main et m’a murmuré :
« Léa, je ne sais pas où cela nous mènera, mais je veux qu’on essaie. »
Et moi, sans hésiter, j’ai répondu :
« Moi aussi. »
Cette histoire n’a pas été simple, mais elle m’a appris à suivre mon cœur, même quand c’est compliqué. Avec Adam, j’ai découvert un amour intense, inattendu, et je ne regrette rien.