Je m'appelle Raphaella. Je vais aujourd'hui vous raconter une des nombreuses histoires de sexe que j'ai vécue.
J’ai 28 ans, et aujourd’hui, je prends ce que j’aime appeler mon moment suspendu : un trajet en train de Paris à Lyon. J’adore voyager seule. Ces quelques heures où le monde s’arrête et où tu peux te perdre dans tes pensées, écouter une playlist ou simplement observer les gens autour de toi.
Physiquement, je suis une fille plutôt classique d’apparence, mais avec un style bien à moi. Des cheveux châtains, coupés juste au-dessus des épaules, un carré flou qui donne toujours l’impression que je viens de sortir du lit (alors que ça me prend 20 minutes). Mon visage est marqué par des traits doux, et mes yeux noisette attrapent souvent des compliments, même si je ne les vois pas comme extraordinaires. Ce jour-là, je portais une robe tube noire près du corps arrivant à mi cuisses faisant ressortir ma taille fin et mes grosses fesses bombées.
J’étais confortable mais pas négligée car je portais sous cette robe une fine lingerie en tulle transparente blanche brodée de petites fleurs roses et rouges. Ma garde robe était parfaite pour un trajet en train et adapté en cas d’un plan baise rapide pouvant intervenir sur le parcours (n’ayant pas eu de rapport depuis 3 semaines ma minette me gratouillait terriblement).
Donc je m’installe à ma place près de la fenêtre dans une cabine fermée de 2 banquettes face à face, referme la porte du compartiment occultée par des stores coulissants en tissu et sors mon livre. Un roman que j’espérais terminer pendant ce trajet. Mais à peine avais-je tourné une page que la porte de la cabine s’est ouverte et il est entré.
Il était grand, brun, avec une barbe soigneusement taillée, des épaules larges prolongées par des biceps épais qui se dessinaient sous une chemise en lin beige. Il portait un sac à dos noir jeté sur une épaule et avait cette assurance naturelle qui attire immédiatement l’attention. Il cherchait sa place, et quand son regard a croisé le mien, un frisson m’a parcourue. Il a souri, un sourire à la fois discret et captivant.
« Excusez-moi, c’est ma place, » a-t-il dit en montrant le siège à côté du mien.
« Oh, bien sûr, » ai-je répondu en me redressant légèrement, soudainement consciente de mon espace.
Il s’est installé à côté de moi, et l’odeur de son parfum — une senteur boisée avec une touche d’agrumes — m’a enveloppé. J’ai essayé de me replonger dans mon livre, mais ma concentration avait disparu. Je sentais sa présence, si proche, et ça me troublait plus que je ne voulais l’admettre, je sentais ma fente commencer à ruisseler entre mes cuisses et faire une tache humide sur le dentelle de mon string. Je me dis intérieurement d’une voix coupable :
« Trop envie de me faire venir mais je vais faire une flaque sur la banquette et me prendre la honte de ma vie ».
Après quelques minutes de silence, il a brisé la glace :
« Tu lis quoi ? » a-t-il demandé en jetant un coup d’œil vers mon livre.
« Oh, euh… un roman, » ai-je répondu, un peu gênée par cette entrée en matière directe.
« Intéressant ? »
J’ai ri doucement :
« Pas autant que toi, apparemment. »
Il a haussé un sourcil, un sourire en coin se dessinant sur son visage :
« Moi ? »
« Oui. Tu sembles assez sûr de toi pour interrompre une lectrice passionnée. »
« Et toi, tu sembles assez sûre de toi pour me remettre à ma place. »
La conversation a continué, fluide, naturelle, comme si on se connaissait depuis toujours. J’ai appris qu’il s’appelait Lucas, qu’il avait 32 ans, qu’il bossait dans la finance (ce qui ne collait pas du tout avec son look décontracté), et qu’il allait à Lyon pour un séminaire. Moi, je lui ai raconté que j’allais rendre visite à une amie, mais j’ai omis volontairement les détails, laissant planer un peu de mystère.
La tension entre nous était palpable. Chaque fois qu’il bougeait, qu’il effleurait mon bras ou qu’il plongeait son regard dans le mien, mon cœur s’emballait. À un moment, il a sorti un carnet et a commencé à écrire. Curieuse, je me suis penchée légèrement :
« Tu prends des notes ? » ai-je demandé.
Il a tourné son visage vers moi, un sourire énigmatique aux lèvres :
« Peut-être que je dessine ta jolie chute de reins.» Dit il.
J’ai éclaté de rire :
« Oh, là là, j’espère que je suis à mon avantage » et d’un coup par une envie pressante de sexe mes paroles trahirent ma pensée et je lançais sans aucun filtre :
« Ce serait dommage de rater une occase de prendre mon pied ».
« Crois-moi, tu ne vas rien rater ma belle. » dit il en déboutonnant son pantalon et en sortant un sexe pas très long mais bien large et tendu comme du bois.
« Waouh, quel beau morceau » Dis-je avec un regard d’envie « Y a moyen de.. »
Il me coupa la parole :
« Au lieu de baver sur mon chibre avale le jusqu’aux boules et pas de chichi fais toi plaisir » Il rajouta d’un trait « J’ai trop capté que tu es en manque, ce serait un péché de te laisser dans cet état, je vais te ramoner le fion et envoyer le jus dans ta bouche, ça va calmer ta faim » .
Ses paroles étaient crues mais Lucas avait parfaitement compris mon abstinence. C’était comme une danse, un jeu où chaque regard, chaque mot était une étape vers quelque chose d’inévitable.
« Je peux donc ? » lui répondis-je en me jetant sur son sexe dressé.
« Bien sur et relève ta robe que je te détende la rosette avec mon doigt avant de t’enculer » répondit il.
Je me penchais donc pour régaler son membre en passant ma langue lentement sur son gland gonflé. Surpris par ma maitrise il gémit de plaisir de façon animale. Je ne pus m’empêcher de lui lancer d’un air moqueur :
« Dans le style affamé tu n’es pas de reste, encore un ou deux coup de langue et tu va envoyer ta fumée sur ma langue ».
Il répondit :
« Tu as mille fois raison autant nous éclater sans attendre, met toi en bombe sur la banquette tu vas te régaler » il rajouta : « Avec ton gros cul et tes dessous de chaudasse, j’ai la queue qui a doublé de volume et surtout n’oublie pas de bien lubrifier l’entrée ».
Excitée par ses propos salaces j’appliquais ses directives à la lettre en relevant mes fesses tout en badigeonnant mon sillon fessier de salive. Lucas se plaça derrière moi pour introduire langoureusement sa pine dans mon anus gluant. La largeur de son engin entraina en l’espace de 10 minutes une rafale d’orgasmes violents qui me secouèrent de la tête aux pieds qui n’en finissait plus. Captant mon plaisir il s’écria derrière moi :
« Tu m’excites avec ton gros cul, je vais te baiser la conasse et après je t’envoie la semoule sur le museau, tu l’as bien mérité ».
Joignant les actes à la parole Il rentra sa grosse tige dans mon intimité ruisselante provoquant ainsi mon dernier orgasme.
Sentant la fin proche il vint se placer devant moi et introduit son sexe violacé dans ma bouche.
« Viens prendre ton dessert et n’en perd pas une goutte » dit-il.
Puis dans un gémissement final sa queue cracha un jet d’une couleur immaculée dans ma bouche. Je suçais son membre jusqu’à la dernière goutte comme pour le remercier de mes orgasmes successifs.
Comme de fait exprès le train ralenti pour un arrêt en pleine campagne, Lucas s’est levé :
« Je vais me dégourdir les jambes après cette bonne baise. Tu veux venir ? »
J’ai hésité une seconde, mais quelque chose dans son regard m’a donné envie de le suivre. Je suis passé devant et on a marché dans le couloir, lui derrière moi jusqu’à arriver près des toilettes du wagon suivant. Il s’est arrêté, jetant un coup d’œil autour de nous. Le couloir était désert.
« Je ne sais pas ce qui m’arrive, Raphaella… je suis en train de craquer à nouveau.. »
Son ton était calme, mais son regard était brûlant. Mon souffle s’est accéléré. Je savais exactement ce qu’il voulait dire, et au lieu de reculer, j’ai répondu :
« Et que se passe t’il, Lucas, ça ne va pas ? »
« Je crois que ce trajet restera dans les annales, » a-t-il dit doucement.
J’ai éclaté de rire, encore troublée mais incroyablement légère :
« Je crois que je vais prendre le train plus souvent. »
Le reste du trajet, on a à peine parlé, mais chaque regard, chaque sourire suffisait à prolonger ce moment unique. Quand on est arrivés à Lyon, il m’a tendu une carte avec son numéro, avant de disparaître dans la foule. Et moi, je suis restée là, le cœur battant, avec l’impression d’avoir vécu quelque chose d’irréel, mais terriblement excitant.