Je m'appelle Léa, et ce que je vais vous raconter, c'est une histoire de sexe plutôt intense qui a marqué ma vie. C'était une de ces soirées d'été, où on se retrouve entre amis chez quelqu'un, tranquille, avec de la bonne musique et quelques verres. J'avais mis une robe noire en satin, pas trop chic mais juste assez pour me sentir sexy. Mes cheveux blonds détachés, des talons pour ajouter une petite touche de confiance, et voilà, j'étais prête à profiter de la soirée.

En plein milieu des discussions et des rires, je l'ai remarqué. Maxime. Grand, un peu mystérieux, avec des épaules qui ne passent pas inaperçues. Il avait ce regard qui captait l'attention, et un sourire en coin qui donnait envie d'en savoir plus. Je ne le connaissais pas, mais quelque chose chez lui m'a immédiatement attirée. Il dégageait une énergie à la fois apaisante et excitante, un mélange qui m'a donné envie de me rapprocher.

Il s'est avancé vers moi, sans se presser, confiant.

- "Salut, moi c'est Maxime. T'es venue pour la soirée aussi ?"

Je l'ai regardé, amusée. "Salut, Léa. Ouais, je suis une amie de la fille qui organise. Et toi ?"

- "Un pote de longue date du gars qui reçoit. Je crois que la soirée vient de devenir beaucoup plus intéressante," m'a-t-il dit, son regard se perdant un peu trop longtemps sur moi.

On a échangé quelques phrases, rien de bien profond, mais les regards parlaient pour nous. Plus la soirée avançait, plus je sentais cette tension monter entre nous. C'était évident. Et ça me plaisait bien.

- "Tu sais quoi ? Tu m'as l'air d'aimer l'imprévu, Maxime. Suis-moi, j'ai quelque chose à te montrer." Je n'étais même pas sûre d'où ça allait nous mener, mais je savais que ça serait mémorable.

Il n'a pas hésité une seconde. Il a pris ma main, et on s'est éclipsés de la fête. On s'est retrouvés dehors, dans le jardin, un peu à l'écart. Il y avait des lampions suspendus, la lumière était douce, presque magique. L'ambiance parfaite. Je me suis rapprochée de lui, nos corps se frôlant légèrement. L'alchimie entre nous était presque palpable.

J'ai commencé à caresser son torse, lentement, en sentant ses muscles sous sa chemise. Il m'a fixé avec une intensité qui m'a fait frissonner. "Je sens que cette nuit va être spéciale," a-t-il murmuré.

On s'est embrassés. Ce n'était pas un baiser timide, non. Il m’a mangé la bouche. Nos langues se sont littéralement mélangées. Nos corps se collaient l'un contre l'autre, et je sentais son désir grandir, et sa bite durcir à travers son pantalon. Ses mains ont trouvé mes hanches, puis sont descendues, effleurant mon cul bombé. Ce simple geste m’a fait mouiller comme jamais.

Je l'ai poussé contre le mur, prenant les devants. Le contraste entre la fraîcheur des pierres et la chaleur de nos corps m'a fait tourner la tête. Mes lèvres ont quitté les siennes pour descendre le long de son cou, laissant des baisers brûlants sur son passage. Je pouvais entendre son souffle devenir plus lourd. J’ai défait sa ceinture, et fait descendre son pantalon laissant apparaitre sa belle bite déjà bien gonflée. Je n’avais plus qu’à la prendre en bouche. Après avoir craché sur son gland, j’ai commencé la travail, enchaînant les aller-retours. 

Maxime m’a alors attrapé par les cheveux, poussant sa bite au fond de ma gorge : « t’aime ça, salope ! » s’est -il exprimé. Ayant la bouche déjà bien pleine, je n’ai pas pu répondre, mais le regard que je lui ai lancé voulait tout dire. Je prenais mon pied en avalant ce beau pénis gorgé de sang…

Après 5 minutes d’une bonne pipe bien juteuse, Maxime a repris le contrôle, m'attirant contre lui avec force. Ses mains se sont glissées sous ma robe, remontant lentement le long de mes cuisses. Ses doigts effleuraient ma chatte toute trempée, me faisant frémir à chaque contact. Son souffle chaud dans mon cou me rendait folle. C'était comme si le monde autour de nous avait disparu.

Il m'a allongée sur l'herbe, doucement mais avec une assurance qui me faisait perdre la tête. Puis il a commencé à me pénétrer. Doucement d’abord, puis, de plus en plus fort. Après quelques secondes seulement, je me suis mise à jouir, et à crier tellement fort que Maxime du cacher ma bouche avec sa main pour que le reste de la fête ne nous entende pas. Ma chatte était trempée, il Maxime continuait de la défoncer sauvagement.

On bougeait ensemble, en parfaite synchronisation, complètement absorbés par ce moment de pur plaisir. Nos respirations s'accéléraient, se mélangeant avec les bruits de la nuit autour de nous. C'était intense, brut, et tellement libérateur.

Après quelques minutes, c’était au tour de Maxime de jouir. Il retira sa bite rapidement de ma chatte, et se vida les couilles directement sur mon visage, sans me demander mon avis. J’étais surprise d’apprécier à ce point sentir ce jus tout chaud qui ruisselait sur mes joues…

Une fois le calme revenu, on est restés allongés là, l'un contre l'autre, à reprendre notre souffle. Maxime a doucement caressé mes cheveux, un sourire satisfait sur les lèvres.

- "C'était... au-delà de mes attentes," ai-je soupiré, encore un peu essoufflée.

- "Je savais que cette nuit serait spéciale dès que je t'ai vue, Léa," a-t-il répondu en me serrant contre lui. "Mais je crois qu'on vient de créer quelque chose d'unique."

Je savais que ce n'était pas la fin. Plutôt un début. Un début d'une série de moments comme celui-ci, où tout semblait parfait, où nos corps et nos esprits se retrouvaient en totale harmonie. Et je n'avais qu'une hâte : découvrir ce que la prochaine fois nous réserverait.